






Intéressant.
Le bois frais est souple et accepte certaines contorsions.
En séchant il peut conserver une position prise contre nature.
Certes, ça demande un peu de patience (ou d’oubli).
6 mois dans ce cas précis… c’est du figuier.
C’est étrange mais je n’avais jamais essayé de tailler le bois flotté. Même sans écorce pour les dissimuler (c’est mon plaisir, gratter la surface), ils recèlent pourtant de belles surprises. Sous la blancheur on trouve des teintes variées, en fonction des espèces. Plutôt tendres dans l’ensemble, ce qui les rend agréables à sculpter. Et parfois des bugs et big surprises !
Bref, revenue avec une mini cargaison, je n’en ai pas encore fait le tour…
Parfois des mois de séchage, parfois une transformation illico, mais toujours sur la branche.