Doré à souhait

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Doré, bien sûr.

Plus haut que l’horizon, plus loin que loin, l’astre de poupée sauvage s’est inspiré d’une représentation vieille comme le monde (un peu comme sab, nous sommes allés voir du coté du passé ! Et encore des mains ! Amusant, non ?),

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Celui-là figure parmi nos symboles préférés… voyez dans ces petites mains fourmillantes un hommage aux multiples choses A FAIRE , petites mains actives des petites princesses de l’activité cosmique… plus que quelques jours pour rendre votre ASTRE sans retard ni pépins ! Courage et que notre astre douillet protège tous les inconscients qui n’ont vu le mois de juin se précipiter vers sa fin. (vous avez remarqué, pour une fois que poupée sauvage est dans les temps, elle ne fait rien qu’à s’en vanter. pfff !)

PS : la magnifique illustration ci-dessus est tirée de ce livre, fort recommandable, quoique déjà un peu ancien :

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(Voilà que je tombe dans l »hyper-espace : en faisant une petite recherche rapide sur Val Camonica, histoire de ne pas mourrir idiot, voilà que je tombe sur ça

http://sciencextra.blogspot.com/2008/10/des-fresques-millnaires-avec-des.html

pour tout ceux qui veulent s’abimer dans un abime de perplexité !)

La Chose

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J’ai trouvé cette chose absolument magnifique tout bêtement sur le trottoir. Mais qu’est-ce donc ? Tombée du ciel ? Dégringolée de l’espace ? Une graine, peut-être. Mais cela ne me semble pas possible qu’une forme pareille donne naissance à une essence terrestre… Bref : si quelqu’un a une info sur cet orphelin bien sobrement emmailloté, je suis preneuse.

En attendant, je n’ai pas pû résister : dès l’appareil photo remisé, La Chose s’est retrouvée illico-presto au coeur d’un nid douillet…

Levons la tête

Alors que la mère Castor explore les moindres recoins du sol que nous foulons,

Photo glanée par la Mère Castor
Photo glanée par la Mère Castor

voilà qu’elle nous encourage à explorer l’infini qui surplombe nos têtes :

Qu’il fasse beau ou mauvais, jour ou nuit, imagine là haut un nouvel astre, un jamais vu, un pas pareil, un qui t’attend et te regarde de là haut te démener et t’agiter, un souriant, vieux ou tout neuf, un qui se mire volontiers dans l’eau dans la vitre dans tes yeux.
Il est temps, nom de Dieu, de sortir les grands moyens, de jouer au créateur, de rouler d’inventer et d’envoyer au ciel la galaxie toute neuve des à fairés de juin.
Planète ? Non ! trop mâché répété assaisonné et rabâché et trop mis à toutes les sauces et sous le nez.
Un Astre te dis-je.
C’est plus chic.

Les mots pour aller avec en dessus en dessous comme tu veux :

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Ceci est donc L’A FAIRE de juin, tous les détails sont à trouver ici, et il vous reste une vingtaine de jours pour jouer au big bang !