La belle affaire que voilà, vite mettons l’hiver en boîte et qu’il y reste ! Euh… ça n’est pas tout à fait la proposition de la mère Castor :
Après le succès et les trésors merveilleux de l’à faire de janvier, voici venue l’à faire de février. Ce sera une boîte.
Pas n’importe quelle boite, à clous à rythme à mouchoirs à bon points ?
Point, une boîte à hiver.
Boite, carton, sac, vitrine, besace ou flacon, qu’importe, pourvu que l’ouvrant quand l’été t’agacera de ses vapeurs et que tu auras trop chaud, tu puisses respirer un bon coup, te souvenir des arbres nus porteurs de nids, de la flaque gelée, de la neige et du feu dans la cheminée.
Une boîte ou un sac à emporter sur la plage, un anti coup de soleil, une bouffée d’air frais pour honorer le petit février qui court après la lumière et le printemps, lui qu’on oublie si vite.
Pour l’écriture :
en bonus le mot : JARDIN, ramassé par terre. Si.
Merci Corinne de suivre ainsi les aventures de la Mère Castor.
Vive la mère Castor, grande agitatrice du bouillon de culture du net !
Et merci pour la visite.