Et bien voilà, c’est tranché, les drôles de profils sont adoptés et la volaille bizarrement concoctée prendra place au château. Il y aura un couple un peu altier, en apesanteur au dessus d’un trône biplace. Vagues ailes et vrais profils de condors de la cour.

Un troubadour et sa damOiselle devraient se faire face dans l’encadrement d’une fenêtre, indifférents au bel aperçu de la cour, tout figés qu’ils seront à se contempler 6 mois durant.
Et cette damOiselle, blanche comme neige, devrait, elle, dormir non loin de ces coussins.
A toute cette charmante basse-cour il manquait néanmoins un éléments essentiel : une vraie damOiselle un peu mignonette qui donne envie aux enfants de jouer avec. Une vraie princesse un peu kitch, qui brille et tout, parce que, bon, faire une expo de poupées dans un château sans proposer cela c’est un peu comme un plat de nouille sans pâtes… Donc, petite cuisine de poupée sauvage, et hop;
et la dernière damOiselle a pris forme. Pour les brillants, elle attendra un peu.
The poultry-yard of the castle in the stage of realization.