Nos poupées doivent être de bonne compagnie, car, au musée de Noyers comme au château d’Ancy le Franc, on nous a proposé de prolonger notre présence en ces lieux. Cette fois, il s’agit de choisir une salle et de s’y installer… le temps de la belle saison. Nous avons opté pour la Salle Bauchant, qui fait référence à la fois à un atelier imaginaire de cet artiste mais convie également d’autres artistes bien connus de l’Art Naïf. La précédente installation d’un artiste autiste, Jean-Paul Henry, y a également laissé une énigmatique trace dans la suie de la cheminée. Différentes évocations animales constellent aussi les lieux… Bref, nous avons été séduits et nous apprêtons à mettre notre grain de sel dans cet univers.
Des photos de l’installation… bientôt.
transparence et piquants, ces fantômes sont épatants.
Quel sel ! Un lieu propice à la piquante Poupée Sauvage.
Quel sel ! Un lieu propice à l’épanouissement de la piquante Poupée Sauvage !
oups ! je suis bègue ! c’est dire si ces minois marrons m’émeuvent ..
Apparitions ficelées, acérées, pour un bel endroit
Bègue, mais tenace.
Comme vous toutes… merci les filles !
les personnages sont MAGNIFIQUES
génial! Poupée sauvage bientôt dans tous les musées de France et de Navarre! J’aime toujours les marrons… as-tu gardé ceux des années passées? Comment vieillissent-ils? J’avais transformé des glands en une collection de petits personnages mais ils avaient plutôt mal vieilli.
Oui Françoise, c’est marrant, le gland évolue. La châtaigne évolue. L’avocat se rétracte jusqu’à devenir de bois, et fonce. Le marron, lui, se fige assez rapidement et ne bouge plus, ni en couleur, ni en volume.
Donc, le marron, bonne pioche. J’attends l’automne !