L’occasion de patouiller un peu,
Tiens, des jolies boulettes…
gardons-les un peu,
en compagnie des Grenades de Claude
et admirons-les
en attendant de savoir à quel projet les vouer.
Trophée d’amulette ? Coeur de nid douillet ?
2 réflexions sur « Comme des sauvages »
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quelles couleurs déclicates, comme la peau, comme les joues des jeunes filles
Oui, j’ai complètement craqué sur ces froissages, mi peau / mi tissu.
Dommage qu’une fois secs… toute magie a disparue.
Juste beaux, le temps d’une photo ?