Nan, nan, ça n’est pas du tout une obsession, rien qu’un bête télescopage.
Avec, d’une part, l’arrivée inopinée d’une grande quantités de noyaux d’avocats. ( vite, vite, ces petites bêtes-là, ça n’attend pas)
Et, d’autre part, l’arrivée d’un catalogue (rue du monde, du bel ouvrage s’il en est ).
BING, je tombe en amour devant les beaux volatiles de la couverture, délicatement dessinés par Vanessa Hié. Et BOUM-BANG… mais c’est bien sûr… Cette forme ? Ces petits crânes d’oeufs ? Que n’y ai-je pensé plus tôt : on peut sans doute tailler-là quelques profils de volatiles. Testons…
Piou, piou… la chose est dans l’oeuf. Avec les noyaux d’avocats, la maturation se compte en mois. Patience, donc.
les promesses d’un jardin mélodieux