Là aussi, l’une des poupées crée pour l’armoire d’Emmaüs, a donné envie d’explorer plus avant ces possibilités de greffes de têtes improbables sur corps textiles. Grâce à mon acolyte Valéa et à diverses trouvailles, le projet a pris corps (oh-oh).
Pour l’occasion j’ai enfin pu expérimenter la teinture au thé et suivre les bons conseils de miss 400 coups donnés un an avant (comme quoi, avec poupée sauvage il ne faut jamais désespérer).