Quelques extraits de la mini-série d’amulettes du moment. Du végétal, des perles et, au final, je les aime tellement qu’il n’est pas sûr qu’elles iront là où elles devaient aller !
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Que sont nos avocats devenus ?
J’ai rangé…
J’ai rangé mon petit bazar, ma caverne d’Ali Baba, mon Mont de Piété, ma centrale sans achat, ma collecte aux merveilles, ma collection de petites histoires personnelle, et, cette fois-ci, j’y ai ajouté un peu de l’histoire d’une autre… J’ai rangé tout ça (finalement, c’est bien peu de place que tout ça, n’est-ce pas, Monsieur ?) et, la fine fleur sous le coude, j’étais prête à redonner vie à de nouvelles amulettes…
Pour les premières, le petit bidule en « paquet-cadeau » et la plupart des tissus sont issus des expérimentations de la très créative Nathalie Grenet, dont je vous reparlerais très prochainement. En attendant, vous pouvez aller faire un petit tour ici… où l’on peut retourner souvent car elle est également très prolifique !
De Chaison
Hep, les filles !
L’été est fini, il faut s’habiller !
Une fois vêtues (à la sauvage, comme il se doit), ces Lilliputs d’un nouveau genre iront rejoindre leurs petites camarades en instance de séchage… et, un jour prochain, nous les redécouvriront et nous verrons bien s’il y a quelque chose à sauver de l’été dernier.
Le lent, mais certain, flétrissement des choses (2)
Après les coquelicots, le jardin aborde sa phase altéa & roses trémiaires.
explosions,et c’est là que s’impose le lent, mais certain, flétrissement des choses…
C’est aussi là que Maya et moi intervenons. Récolte,
assemblage adulte,(aucune différence, n’est-ce pas ?)
Et le flétrissement continue… Roi & Reine by Maya
Les sirènes by Maya
Feu follet de l’été
Avez-vous déjà remarqué comme ces petites flammes rouges de l’été se fanent et s’étiolent très vite ? De véritables petits feux follets de saison, vous ne trouvez pas ? Aussi, en réponse à l’À Faire de juin de la Mère Castor (Certes, pour juin, je suis complètement en dehors des clous, voire totalement dans les choux, mais disons que je participe en candidat libre…) je vous invite à retourner les jupons des rouges demoiselles et à les saucissonner d’un brin d’herbe. Distraction forte amusante, piochée là. Après quoi, il n’y a plus qu’à attendre et à observer le lent, mais certain, flétrissement des choses…
Monsieur, très emballé a dit : appellons-les les Lilliputs. À moins que ça ne soit les Lili-putes, je ne sais. Les demoiselles, en tous cas, nous ont conquis. Mais il s’avère un peu tard pour passer à une production industrielle : le feu follet de l’été tire déjà à sa fin ! Vite, j’ai glané les dernières du jardin et me tiens à l’affut d’autres retardataires. Chose amusante, ces mal fichues de la demière heure étaient tellement dénaturées qu’elles contenaient des couleurs extraordinaires. Jugez plutôt :